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La GrandRue, baptisée rue du Docteur Charles Poitevin en 1934, était autrefois la rue commerçante de la ville. En regroupant lessentiel des magasins, elle était le centre des animations. |
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Cest, à cette époque, lartère commerçante principale de la ville. |
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De nombreux commerces sont toujours présents. |
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Ici se trouvait notamment le local du réputé photographe F. Défourné. (Collection Henri Soulat) |
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(*) Archives personnelles, famille Lacombe-Debrioulle. |
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À la fin de lannée 1945, André Lacombe installe une pâtisserie à Rochechouart. |
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Le beau magasin de graines Rivet au début du 20ème siècle |
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Les commerces qui se sont succédés en ce même lieu, notamment le magasin Sorton de peintures et papiers-peints dans les années 1960, ont fermé leurs portes depuis longtemps et nont pas été remplacés.... |
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De nombreux boulangers se sont succédés en ce même lieu tout au long du 20ème siècle. Ce magnifique cliché a immortalisé la boulangerie Tiffonnet en 1914. -Archives personnelles des familles Tiffonnet, Barué- |
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Simon et Maria Boissout, posent avec leurs enfants devant la saboterie qui sera remplacée quelques années plus tard par le magasin Sorton. |
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Suzanne et Maurice Sorton accompagnés de leur petit neveu devant leur magasin au mois daoût 1961. |
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Maurice Sorton en plein travail de peinture dans la ruelle qui jouxtait à lépoque le magasin Blin. |
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Le commerce Sorton décoré comme il est de tradition, lors des ostensions de lannée 1967. |
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Le magasin de confection de Marguerite Blin. |
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Mme et M. Desvaux (à gauche) posent devant leur commerce de vente de tabac, cigarettes, graines et articles de pêche avec leurs amis den face : M. Jean Pouly et sa compagne Yvonne Morinnais gérants du magasin Foucré. |
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Dans ce magasin de Mme et M. Desvaux, qui fleurait bon le tabac, on discutait ferme sur les bonnes prises et les tailles des poissons (souvent exagérées) réalisées par les clients pêcheurs sur les bords de la Graine. |
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Dans sa boucherie, Jeannot Tuffet, sa mère et son commis, saffairent pour servir une cliente. |
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En haut de la rue, de nombreux clients sont réunis dans le magasin de coiffure hommes de M. Maruteaux. Le système des rendez-vous nétait pas encore pratiqué à cette époque. Chacun attendait son tour, et, les jours daffluence, celà pouvait durer longtemps ! |
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La boulangerie "Vigier". |
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La mercerie de Mme Vouzelaud. -Archives famille Vouzelaud- |