Il ny avait pas encore leau courante, encore moins de machines à laver; Les femmes de Rochechouart dévalaient donc les chemins escarpés vers La Graine ou le ruisseau des morts avec leurs brouettes chargées de linge.
La lavandière, agenouillée sur la planche à laver, savonnait le linge, le frappait avec le battoir, avant de le rincer dans leau de la rivière.
Il était ensuite mis à sécher, au soleil, étendu sur les haies.
Au début du 20ème siècle, lavandières essorant du linge au pied de la Roche-choir.